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  • Auteurs: Janis Flores
  • Auteurs: L. Veil

La dynastie des DeWilde T6 : Le bonheur en jeu (Janis Flores) - L'amour triomphant (Jasmine Cresswell)

3,95 €
Ils sont riches, puissants, influents, mais des secrets de famille menacent leur empire. Le bonheur en jeu (Janis Flores) Chargé par Jeffrey DeWilde de retrouver les joyaux manquant à la collection familiale, Nick Santos touche au but. Tous les indices accumulés au fil de son enquête convergent en effet vers un seul et même lieu : San Francisco. C'est là aussi que l'attendent deux femmes bien décidées à lui compliquer la tâche. Grace, la femme de Jeffrey, qui espère retrouver la première les bijoux et regagner ainsi l'amour de son mari. Et Kate, la benjamine des DeWilde, qui juge ses méthodes pour le moins expéditives… et ne se prive pas de le lui dire ! Mais Nick a du mal à lui en tenir rigueur car, au-delà de l'hostilité que la jeune femme lui témoigne, il devine chez elle un tempérament aussi brûlant que le sien ! L'amour triomphant (Jasmine Cresswell) Julia Dutton, jeune professeur de français discrète et sérieuse, et Michael Forrest, incorrigible et richissime play-boy, se sont croisés à plusieurs reprises et, chaque fois, cordialement détestés. Dans leur entourage, on espère que la naissance un peu prématurée du premier bébé DeWilde de la nouvelle génération, qui va les réunir à nouveau, les forcera à réviser leur jugement. Un souhait valable aussi pour Jeffrey et Grace DeWilde qui, après s'être tant aimés, trompés, déchirés, vont peut-être enfin se rendre compte qu'ils ne peuvent pas vivre l'un sans l'autre…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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