Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Karen Tollen Whittenburg
  • Auteurs: L. Veil

N° 641 - Le passé secret de Merry McLennan (Karen Tollen Whittenburg)

2,06 €
Lee se demanda pourquoi il ne sentait pas vibrer en lui le sentiment de triomphe qu'il aurait dû éprouver. Pourtant, il la tenait presque, l'indispensable interview qui ferait enfin de son enquête sur les enfants stars un extraordinaire succès populaire ! Car après de savantes manigances, il venait de retrouver, et surtout de charmer, Merry McLennan. Merry McLennan, cette petite fille mannequin au minois adorable qui avait fait autrefois la une des magazines... avant de disparaître et de se réfugier dans un anonymat farouche. Il suffisait maintenant de lui arracher habilement tous ses secrets… Malgré les années écoulées, Lee avait reconnu tout de suite le teint de porcelaine et les yeux mauves. Oui, il avait reconnu Merry, mais la petite fille de jadis avait changé, et devant sa beauté, sa grâce toute neuve de femme, Lee s'était senti bien plus ému qu'il ne s'y serait attendu. Peut-être ce trouble expliquait-il d'ailleurs qu'il ait pris tant de plaisir à séduire Merry, et surtout, qu'il ait oublié, tandis qu'elle lui souriait, qu'il ne devait la fréquenter que pour des raisons strictement professionnelles. Et pas très honorables…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire