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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Lass Small

N° 336 - La princesse à la tour d'ivoire (Lass Small)

2,56 €
Le regard de Clint tomba sur un petit tableau. A la fenêtre d'un château, une femme guettait l'horizon, semblant attendre quelque chose. Malgré l'audace du décolleté et l'extrême sensualité du visage mis en relief par la lumière, elle paraissait lointaine, comme en retrait. En bas des remparts où se pressait une foule noire, très dense, un cavalier avançait, les yeux levés vers la fenêtre. — Quand avez-vous peint cela ? — Qu'importe ! dit-elle tendue. — La femme, là, c'est vous, n'est-ce pas ? Elle se tut tandis qu'il approchait d'elle. — Mais peut-on savoir qui est ce chevalier que vous semblez attendre ?

N° 419 - Super Passion : Le goût de la passion (Lass Small)

2,06 €
Le son qui s'échappait de la flûte de Clothilde vibrait dans la nuit, tissant avec le vent et les bruits de la campagne texane, une symphonie qui, mystérieusement, évoquait la mer. Ils étaient nus tous les deux, réunis dans ce moment unique en dépit de tout ce qui avait pu les séparer, de tout ce qui les séparerait encore… Ils venaient de faire l'amour, fiévreusement, passionnément, et tout ce qu'ils n'avaient pas dit pendant l'amour, la flûte l'exprimait, en une sorte de vibrante imploration à l'immensité céleste. Clothilde jouait de tout son être, dédiant sa musique à l'amant étendu près d'elle dans la splendeur de sa nudité. Et les notes semblaient un prélude à leur prochaine étreinte…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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