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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Françoise Laurent
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Loes Hazelaar

Perds pas la tête, mamie ! (Françoise Laurent)

3,25 €
Joséphine, la mamie d'Antoine, fait des choses étranges : elle perd régulièrement des objets, verse des verres de lessive à la place du sirop, arrose les bibelots de la cheminée… — Elle doit aller à l'hôpital, disent les parents d'Antoine. Mais lui n'est pas de cet avis. À qui récitera-t-il ses leçons ? Qui l'aidera pour ses devoirs ? Joséphine est si patiente, si compréhensive ! Antoine décide donc de s'enfuir avec sa grand-mère. Il connaît une maison inhabitée dans un village perdu de Haute-Saône. Mais une grand-mère qui retombe en enfance, ce n'est pas de tout repos. Surtout lorsqu'elle est accompagnée d'un chat noir et d'un rat blanc. Et qui est cette Antoinette dont elle parle sans cesse ? Dès 9 ans.

Qui est amoureux de moi ? (Loes Hazelaar)

6,18 €
Sur sa table d’école, Vita trouve un petit mot : « Vita, je t’ème à la foly. X » La fillette en est toute retournée et n’a plus qu’une obsession : découvrir qui est ce mystérieux X !  Est-ce Jasper, le passionné de foot, ou Simon, qui est si doué en dessin ? Ou alors Najib, Raphaël, Benjamin… ? Avec sa copine Valérie, Vita décide de mener l'enquête. D'un côté, elles vont sur le terrain pour observer les garçons dans leur environnement naturel. De l'autre, elles chipent les magazines de la grande soeur de Valérie pour se renseigner sur l'amour. Voilà qui leur en apprend beaucoup… Mais l'énigme reste entière : qui est donc X ? Une histoire fraîche et vivifiante, qui parle sans détour des premières amours… À partir de 9 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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