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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Louise Fuller
  • Auteurs: Mary Blayney

N° 3801 - Un ardent face-à-face (Louise Fuller)

2,98 €
Flora peine à y croire. Ce Massimo Sforza pense-t-il vraiment qu’elle se laissera acheter de la sorte ? Maintenant qu’elle a enfin trouvé son havre de paix, il est hors de question qu’elle abandonne le palazzo aux mains de ce milliardaire impertinent qui désire le transformer en complexe hôtelier de luxe ! Peu importe le prix qu’il lui propose, elle ne cédera pas. Car elle en est convaincue : aucune somme d’argent ne pourrait acheter la sérénité que cet endroit lui procure. Massimo, aussi charmant et intimidant soit-il, peut bien lui imposer de cohabiter avec lui, rien ne la fera fléchir…

N° 424 - Star pour moi (Mary Blayney)

2,15 €
Tom Wineski. Le de Chicago. Le héros du feuilleton télévisé le plus populaire de la région. Très séduisant, il s'imposait surtout par un visage qu'on n'oubliait pas, avec son nez un peu fort et ses sourcils épais. Mais voilà, Janelle aurait voulu, au contraire, l'oublier, le chasser de ses pensées, refouler cette vague de désir qui la submergeait au moindre contact qu'elle avait avec lui. L'oublier, oui… Qu'aurait-elle pu contre une nuée d'adolescentes transies qui se bousculaient frénétiquement pour avoir droit à un de ces sourires enjôleurs dont il avait le secret ? Elle avait passé l'âge de succomber au charme frelaté d'une star du petit écran. Et pourtant, il suffisait que Tom la regarde, pour que Janelle, oubliant le monstre sacré, ne voie plus en lui que l'homme, un homme qui la faisait délicieusement frissonner…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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