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  • Auteurs: Jane Arbor
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Mark Twain
Comme un rêve de cristal - Jane Arbor - Collection Harlequin N° ES8
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N° ES8 - Comme un rêve de cristal (Jane Arbor)

2,95 €
Quelle aubaine pour Cléo, cet empli d'hôtesse dans un village de vacances, au coeur de l'Ile de Beauté ! Les plages ensoleillées, les grottes à l'eau bleue et limpide, l'arrière-pays, sauvage et majestueux… et surtout un travail passionnant, avec des gens venus des quatre coins du monde. Mais l'enthousiasme de la jeune Anglaise fait vite place au désarroi. Car le directeur de la marina n'est autre que celui qui avait jadis brisé la vie de Cléo, celui dont elle porte encore le nom…

Le Prince et le Pauvre (Mark Twain)

2,74 €
Dans le Londres du XVIe siècle, Tom Canty est un enfant pauvre tyrannisé par son père alcoolique. Il rêve de s'enfuir et de combler son plus cher désir : rencontrer un vrai prince. Et, un beau matin, devant les grilles de Westminster, son cou est exaucé lorsqu'il fait la connaissance de Sir Edouard Tudor, prince de Galles, le fils du roi Henri VIII. Par jeu, les deux garçons vont troquer leurs identités, ce qui va provoquer une terrible méprise…

Le prince et le pauvre (Mark Twain)

3,50 €
Le prince de Galles, fils d'Henri VIII d'Angleterre, rêve de courir en liberté et de se battre dans les rues de Londres avec les gamins de son âge. En même temps, dans un quartier sordide de la capitale anglaise, un petit pauvre rêve de devenir prince. Et si l'occasion était offerte aux deux garçons de réaliser leur rêve…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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