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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Meg Aulnay

N° 3249 - L'Étoile de l'Oregon d'après le roman de Meg Aulnay

3,75 €
Samantha, partie de son Irlande natale à la recherche de travail, parvient en Oregon, le pays des séquoias millénaires, un paradis ! Après quelques vicissitudes qui n'entament pas son courage, elle finit par trouver un emploi qui lui plait. Un jour qu'elle conduit d'une main ferme la carriole de ses patrons, un jeune homme abime la voiture en la doublant inconsidérément avec son élégant tilbury. Il ose de surcroît, l'odieux personnage ! se moquer insolemment de la jolie rousse qu'il vient d'envoyer au fossé ! C'est Stephen Hamilton, le plus important propriétaire de la contrée : il est fiancé à Carole, une jeune aristocrate, aussi riche et ravissante qu'elle est méprisante. Samantha, qui ne possède rien, ne se montrerait-elle pas raisonnable en épousant David, l'instituteur qui lui témoigne de tendres sentiments ? Mais qu'a affaire la raison avec l'amour ? Or la jeune fille est tombée amoureuse de son ennemi, qui se révèle il est vrai, malgré son incorrigible ironie, l'homme le plus généreux qui soit. Alors, l'Irlandaise décide soudain de devenir quelqu'un, de réussir matériellement, à force de ténacité, de labeur, de risques aussi… L'ETOILE DE L'OREGON, le passionnant roman de Meg Aulnay, vous dira si Samantha, en même temps que son pari, parviendra à gagner l'amour de celui qu'elle aime.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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