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  • Auteurs: Carlo Andersen
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Mona Gloria

N° 3.514 - Yann, détective (Knud Meister, Carlo Andersen)

4,94 €
Pour fêter le 75e anniversaire de la fondation de son usine, Monsieur Schmidt, le directeur, décide de faire préparer des gratifications exceptionnelles qui seront remises le lendemain à chacun des membres du personnel. Or, vers 10 h du soir, le caissier et son assistant sont attaqués par trois hommes armés alors qu'ils sont en train de faire la répartition et les enveloppes disparaissent… Tous les indices semblent désigner le caissier Henry Holm comme coupable. Il est donc emprisonné, bien qu'il ne cesse de proclamer bien haut son innocence. C'est alors qu'intervient Yann, le fils du commissaire Helmer. Intrigué par un étrange coup de téléphone et par l'attitude suspecte d'un employé qui brûle des documents, il entreprend sa propre enquête… Ce premier roman d'une passionnante série policière rendra célèbre le sympathique Yann.

N° 1387 - Dangereuse griserie (Mona Gloria)

4,00 €
Extrait : — Comment, ma chère Paulette, tu sors encore ce soir ?… Une nuance imperceptible de mécontentement était passée dans la voix de Maurice Lévrier tandis qu'il s'adressait à sa femme. Retenu tard dans ses bureaux, comme presque chaque jour, le célèbre constructeur d'autos avait formé le projet de dîner tranquillement et d'achever sa soirée bourgeoisement, les pieds dans ses pantoufles. …

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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