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  • Auteurs: Jo Hoestlandt
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Mona Gloria

Tu peux toujours courir ! (Jo Hoestlandt) - Nathan Poche N° 29

2,56 €
Johnny, son truc, c'est de courir, pour le reste… il est lent, rêveur, il bégaie. Et puis un jour, sur le trajet de l'école, il tombe sur une météorite, Daphné, une fille rapide comme l'éclair. Tellement rapide qu'elle n'a plus besoin d'aller en classe. Mais qui sait ce qu'ils peuvent apprendre l'un de l'autre ? Pour les 10-12 ans.

Le journal de Miss Pétoche (Jo Hoestlandt) - J'aime Lire N° 243

4,48 €
Cher journal, Il faut que je te parle d'un truc qui me gâche la vie : souvent, j'ai la frousse, les chocottes, j'ai les jetons et la pétoche... C'est à cause de toutes ces catastrophes qui nous menacent : la famine, la guerre, la pollution, la canicule, les avalanches, les feux de forêt, les virus… Quand j'en ai parlé à Florian, le garçon qui passe ses vacances à côté de chez nous, il a rigolé. Évidemment, lui, il n'a jamais peur de rien… Dès 9 ans.

N° 1387 - Dangereuse griserie (Mona Gloria)

4,00 €
Extrait : — Comment, ma chère Paulette, tu sors encore ce soir ?… Une nuance imperceptible de mécontentement était passée dans la voix de Maurice Lévrier tandis qu'il s'adressait à sa femme. Retenu tard dans ses bureaux, comme presque chaque jour, le célèbre constructeur d'autos avait formé le projet de dîner tranquillement et d'achever sa soirée bourgeoisement, les pieds dans ses pantoufles. …

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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