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  • Auteurs: L. Veil
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  • Auteurs: Monique Peyrouton de Ladebat
Prisonnière dans la tour - Monique Peyrouton de Ladebat - Spirale N° 380
  • Nouveau

N° 380 - Prisonnière dans la tour (Monique Peyrouton de Ladebat)

5,50 €
Ce livre est l'histoire de Hyacinthe et d'Aélis la Blanche, une ravissante histoire, à la manière de jadis. Mais laissons parler l'auteur : « Que l'exemple du jeune Hyacinthe, nous dit-elle, vous soit réconfort contre la paresse, contre le mensonge, contre l'égoïsme et l'indifférence. Il fit son bonheur et celui d'Aélis la Blanche parce qu'il sut aimer et n'hésita pas à engager sa vie pour ceux qu'il aimait. » « Il y a quelques années, nous apprend-elle encore, la tour était toujours debout ; elle fut découverte par une enfant qui avait l'âge de Hyacinthe. » Cet enfant, ne serait-ce point l'auteur elle-même ? Mais lisons plutôt !
Dangereuse griserie (Mona Gloria) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1387

N° 1387 - Dangereuse griserie (Mona Gloria)

4,00 €
Extrait : — Comment, ma chère Paulette, tu sors encore ce soir ?… Une nuance imperceptible de mécontentement était passée dans la voix de Maurice Lévrier tandis qu'il s'adressait à sa femme. Retenu tard dans ses bureaux, comme presque chaque jour, le célèbre constructeur d'autos avait formé le projet de dîner tranquillement et d'achever sa soirée bourgeoisement, les pieds dans ses pantoufles. …
Histoire de Poucinet (Mme L. Veil) - Les livres roses pour la jeunesse N° 141

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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