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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Myrna MacKenzie

Tendres retrouvailles (Collectif)

4,50 €
Idylle au Texas (Diana Palmer) Invitée par sa meilleure amie à passer le week-end dans la propriété de ses parents, Ivy hésite. Car si elle adore cet endroit sauvage, loin de tout, il lui rappelle aussi la pénible scène qu'elle a vécue deux ans plus tôt avec Stuart – un arrogant rancher qui l'a repoussée en lui reprochant d'avoir tenté de le séduire, après lui avoir donné le plus fou des baisers... Un baiser que, bien malgré elle, Ivy ne parvient pas à oublier. Retrouvailles en Ecosse (Caroline Anderson) Daisie n’a jamais pu oublier Bob, l’homme qui a ravi son cœur il y a bien des années de cela. Mais aujourd’hui, alors qu’elle doit le revoir à l’occasion d’un mariage en Ecosse, elle tremble d’émotion. Sera-t-elle capable de cacher à Bob les sentiments intenses qu’elle éprouve toujours pour lui ? Et, surtout, son désir le plus cher : que leurs retrouvailles soient aussi pour eux une chance de s’aimer de nouveau ? Un cow-boy à conquérir (Myrna Mackenzie) De retour à Tallula où elle a passé son enfance, Ivy n’a qu’une idée en tête : trouver un emploi… Mais qui embauchera un ancien modèle dans cette petite ville du Montana où elle a été accueillie avec méfiance et hostilité ? Néanmoins, résolue à frapper à toutes les portes, elle se présente chez Noah Ballenger, qu’elle n’a pas revu depuis son adolescence. Un homme taciturne mais qui n’a rien perdu de son charme, au contraire…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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