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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Nathaniel Hawthorne
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Le second livre des Merveilles (Nathaniel Hawthorne) - Editions Bordas
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Le second livre des Merveilles (Nathaniel Hawthorne)

4,74 €
Le premier et le second livre des merveilles racontent chacun six histoires inspirées des grands mythes classiques. Au sommaire : Le Minotaure, Le peuple des Pygmées, Les dents du dragon, Le palais de Circé, Les grains de grenade et La Toison d'Or. Nathaniel Hawthorne (1804-1864) est né à Salem dans le Massachusetts. Le célèbre écrivain américain, auteur de La lettre écarlate , décide, en 1851, d'adapter pour ses enfants quelques grands contes de la mythologie antique. A partir de 9 ans.

Bouya-Bouya (Pierre de Latil) - Les sentiers de l'aube N° 18

9,90 €
Combien de fois n'a-t-on pas traité le thème de la « puissance des fables » ? Et quand on croit aux rêves, ne deviennent-ils pas réalités ? Mais ce livre, où l'on passe des songes de l'enfance au monde magique de l'exploration sous-marine, ne ressemble à aucun autre. L'action se déroule en un seul été, sur la côte d'Azur. Une jeune allongée se mêle aux jeux de ses cousins, elle est emportée par leur tourbillon et bientôt transformée. Dans une suite d'aventures tendrement féériques l'enchantement réel des sites sous-marins succède aux fictions nées de l'imagination des enfants sans que l'on sache où commence, où finit la vérité. De même que  Championne de ski  du même auteur nous valait, en toile de fond, un véritable « documentaire » sur le monde du ski, ce roman nous apporte un tableau passionnant du sport encore si peu connu de l'exploration sous-marine.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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