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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Paul et Victor Margueritte
  • Auteurs: Stan Cullimore
Poum et Zette (Paul et Victor Margueritte) - Bibliothèque Rouge et Or Dauphine N° 129
  • Nouveau

N° 129 - Poum et Zette (Paul et Victor Margueritte)

5,50 €
Voici pour la première fois réunis, les plus délicieux épisodes des deux célèbres ouvrages de Paul et Victor Margueritte. Poum et Zette sont les héros du monde éternel et merveilleux qu'est le monde de l'enfance. On aimera goûter, tour à tour, le charme de ces deux psychologies d'enfants si différentes et si attachantes : Poum, le petit garçon, timide, sensible et naïf et son amie Zette, qui a déjà en elle la subtilité et la complexité d'une petite femme. Qui ne conservera un souvenir amusé des terreurs de Poum, de ses perplexités devant l'univers des grandes personnes ? Qui ne sourira des incroyables coquetteries de Zette ? Pour Garçons et Filles à partir de 7 ans.
Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695
  • Nouveau

Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695

3,50 €
— Pourquoi l'adorable blonde que l'on faisait sauter sur ses genoux, il n'y a pas si longtemps de cela, s'enferme-t-elle à double tour dans la salle de bains en hurlant soudain qu'on lui fiche la paix ? — Pourquoi en ressort-elle dangereusement rousse ? — En Somme : est-il possible, pour un père, d'élever seul sa fille de treize ans bientôt quatorze ? À partir de 12 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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