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  • Auteurs: Claudette Degéa
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Pavla Hanackova

Maisons du monde (Héléna Harastova, Pavla Hanackova)

7,95 €
Découvre comment les enfants vivent aux quatre coins du monde ! Même si tous les enfants du monde se ressemblent parce qu'ils s'amusent, vont à l'école et aiment leur famille, ils ont des façons de vivre très différentes d'un pays à l'autre. Avec ce livre, tu vas découvrir comment les enfants vivent sur les autres continents et tu vas visiter leur maison : un igloo au pôle Nord, une yourte en Mongolie, une tente dans le Sahara, un riad au Maroc et bien d'autres maisons incroyables ! Pars en voyage aux quatre coins du monde et rencontre les 15 enfants qui t'accueillent chez eux !

N° 266 - Son ami d'enfance (Claudette Degéa)

2,95 €
Extrait : « Trois mille deux cent cinquante francs légers ! Tout ce qu'il y a de plus légers ! Ma pauvre Isabelle, ce n'est pas le moment de faire des folies. A moins qu'il ne tombe dans ton escarcelle, la fortune d'un oncle d'Amérique ou que tu ne fasses la conquête d'un nabab cousu d'or, il faudra apprendre à ton estomac à taire ses exigences et aller demander asile à l'Armée du Salut. Si j'étais sténodactylo, infirmière ou vendeuse en alimentation, il n'y aurait pas de problèmes. Mon couvert et mon gîte seraient assurés. Mais quand on est journaliste qu'on a l'obstination d'aimer son métier au point de ne pas vouloir en exercer un autre, on connaît le destin sans gloire de ceux qui meurent de faim. » D'une main rageuse, Isabelle Vernet lança son porte-monnaie sur le meuble le plus proche et déplia un journal qu'elle étala sur son lit…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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