Chariot
0 articles
Votre panier est actuellement vide
Login
Connexion au compte existant Connectez-vous à votre compte
réinitialiser le mot de passe
Nouveau compte S'inscrire
Accueil
-
- Harlequin
- J'ai lu
- Duo
- Presses de la Cité
- Ferenczi & Fils
- Librairie Jules Tallandier
- Romances - Divers éditeurs
- Magazines - Suppléments
- Littérature Jeunesse
- Activités - Coloriages - Jeux
- Lire en anglais
- Livres pour les tout-petits (0-3 ans)
- Premières lectures
- Contes, légendes et mythologies
- Histoire et Classiques
- Petites et grandes fictions
- Bandes dessinées
- Bibliothèque Verte
- Bibliothèque Rose
- Bibliothèque Rouge et Or
- Collection Spirale
- Idéal~Bibliothèque
- Journaux - Brochures
- Les bandes dessinées
- Autres rayons littérature
- Harlequin
Filtrer par
Auteurs
Auteurs
Collections
Collections
Editeurs
Editeurs
Prix
Prix
-
2,00 € - 5,00 €
Accueil
Affichage 1-3 de 3 article(s)
N° 139 - Un pirate au paradis (Sarah Keene)
2,95 €
Dans son rêve, elle était Miranda du conte de Shakespeare, vêtue d'une robe longue, ornée de cygnes et de croissants de lune. Elle se trouvait au coeur d'une forêt magique. Un animal aux yeux brillants surgit soudain des buissons. Miranda s'approcha doucement pour mieux discerner la silhouette dans la lumière du clair de lune. C'était le monstre Caliban ! Il l'appela d'une voix rauque et suppliante. Emue par cet être mi-homme mi-bête, Miranda voulut le caresser… C'était Jake Delacroix…
N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)
4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…