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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Sandra Glover
  • Auteurs: Sarah Keene

Le garçon de nulle part (Sandra Glover)

2,96 €
Les parents de Mandy l'avaient juré. Plus jamais. Plus jamais d'enfants perdus, orphelins, abandonnés, sous leur toit. Plus jamais de bébés hurleurs, d'adolescents en crise en pension chez eux. Plus jamais ce chagrin inconsolable quand ils partaient réintégrer leur famille d'origine. Il était temps de faire une pause. Mandy avait besoin de tranquillité pour préparer ses examens. Mais quand l'assistante sociale débarque en pleine nuit avec un garçon bizarroïde, complètement muet, habillé tout en noir, sale comme un peigne, Mandy sait que sa mère va craquer, et accepter de le garder un peu. Il refuse d'ôter ses gants de soie. Sa langue est minuscule. Il ne prononce pas un mot. Mais, inexplicablement, Mandy commence à s'attacher à lui. Et le jour où, par télépathie, il l'aide à retrouver Rose, une petite fille maltraitée, Mandy se dit qu'il va rapidement devenir indispensable. De 9 à 11 ans.

N° 139 - Un pirate au paradis (Sarah Keene)

2,95 €
Dans son rêve, elle était Miranda du conte de Shakespeare, vêtue d'une robe longue, ornée de cygnes et de croissants de lune. Elle se trouvait au coeur d'une forêt magique. Un animal aux yeux brillants surgit soudain des buissons. Miranda s'approcha doucement pour mieux discerner la silhouette dans la lumière du clair de lune. C'était le monstre Caliban ! Il l'appela d'une voix rauque et suppliante. Emue par cet être mi-homme mi-bête, Miranda voulut le caresser… C'était Jake Delacroix…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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