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  • Auteurs: Alain d'Aix
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Scott O'Dell

N° 328 - L'Amour est une révélation (Alain d'Aix) - Virginia GIBSON en couverture

3,50 €
L'amour est une révélation Grand roman inédit par Alain d'Aix Extrait : Chaque fois que Freddy avait un rendez-vous, son coeur battait à se rompre. C'était un de ces garçons souvent paralysé par une sensibilité extrême. « Les femmes ne me comprendront jamais !… Elles aiment la force brutale ou les égoïstes, parce qu'ils ont la puissance de l'indifférence !… » songeait-il en parcourant la paisible avenue des faubourgs, où habitait Josette. Une fois de plus, il allait vers elle, le coeur angoissé. Au seuil de la petite maison bourgeoise, il fit une pause, avant de sonner. Dans un instant, il la verrait !… Tante Hélène vint ouvrir : — Bonjour, Freddy, je dois appeler Josette, sans doute ?… La jeune fille apparut aussitôt, rayonnante, ses cheveux noirs ébouriffés.

Complainte de la lune basse (Scott O'Dell) - Castor Poche N° 216

2,74 €
Le printemps 1864 promettait l'abondance dans le Cañon de Chelly. Mais l'arrivée des soldats blancs, les Longs Couteaux, bouleverse ce bel univers. Sous les yeux des Indiens Navahos, réfugiés sur le plateau, les Longs Couteaux saccagent leur village, brûlent les cultures et anéantissent le troupeau. A demi morts de faim, Matin Ensoleillé et les siens doivent se rendre aux soldats. Poussés comme du bétail, ils sont conduits avec plusieurs milliers de leurs semblables à Fort Sumner, au Nouveau-Mexique, là où les Blancs ont décidé de les parquer. La tribu entière entre en captivité. Mais Matin Ensoleillé garde l'espoir d'une vie meilleure…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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