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  • Auteurs: André Ray
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Sheila Paulos

N° 177 - Tant d'amour à offrir (Sheila Paulos)

2,15 €
Maggie veut à tout prix un enfant. Comme elle ne trouve pas le père idéal, elle accepte bon gré mal gré la proposition de Dan Jamison, lui aussi en mal de paternité : faire un mariage blanc afin de pouvoir adopter un bébé. Dès qu'elle emménage chez lui, Maggie comprend que leur cohabitation sera délicate. Dan ne s'embarrasse pas de scrupules pour parvenir à ses fins, quelles qu'elles soient…

N° 185 - Les yeux de l'amour (André Ray) - Marlène DIETRICH en couverture

3,50 €
Les yeux de l'amour Roman d'amour inédit par André Ray Extrait : — Le rayon de papeterie, s'il vous plaît ? — Au fond et à droite, Monsieur. Michel suivit la direction qu'avait pointée le doigt de la vendeuse. Il était venu dans ce grand magasin de Bruxelles pour se procurer du papier à lettres. Le passage entre les rayons et les propositions était vraiment étroit, et le monde qui s'y engouffrait obligeait Michel d'avancer très lentement. Il mit un temps infini à trouver le rayon de papeterie. Mais cela ne faisait rien. Il avait le temps. Et puis, cette atmosphère de grand magasin, cette animation et ce murmure, l'éclairage aux tubes fluorescents, plaisaient à Michel. Il avait l'impression d'être dans une fourmilière humaine où tous travaillent, où tous se bousculent pour accomplir leur tâche…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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