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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Stéphanie Duval

C'est la vie Lulu ! Doc N° 18 : Mes parents ne sont pas contents ! (Stéphanie Duval)

3,56 €
Mes parents ne sont pas contents ! (Stéphanie Duval) Les parents de Lulu ont des tas de raisons d'êtres mécontents. Lulu grignote entre les repas, regarde des émissions idiotes à la télé, fréquente une copine qui a une mauvaise influence sur elle… Alors, quand ses parents lui disent qu'ils ne sont pas d'accord, Lulu trouve cela injuste. C'est énervant de s'entendre dire non quand on aime bien quelque chose… et ce n'est pas facile à accepter ! Dès 7 ans. Une collection de petits livres documentaires pour accompagner les enfants, les aider à mieux se connaître et gérer au mieux les petits soucis et grands tracas de la vie.

C'est la vie Lulu ! Doc N° 6 : Encore des disputes avec ma soeur ! (Stéphanie Duval)

4,27 €
Entre Lulu et Vanessa, les sujets de disputes ne manquent pas ! Parfois, les chamailleries commencent dès le petit-déjeuner… Leurs parents en ont assez de ces relations conflictuelles. Les rivalités, les jalousies : ça suffit ! La famille va devoir imaginer des solutions pour retrouver la paix, et les deux soeurs leur complicité ! Une collection de petits livres documentaires pour accompagner les enfants, les aider à mieux se connaître et gérer au mieux les petits soucis et grands tracas de la vie. Dès 7 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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