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  • Auteurs: Galila Ron-Feder
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Vanessa Kelly
La famille Stanton T3 : À l'assaut de la comtesse - Vanessa Kelly - Milady Pemberley
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La famille Stanton T3 : À l'assaut de la comtesse (Vanessa Kelly)

3,95 €
Qu'adviendra-t-il de la patiente anglaise ? Écrasée par les responsabilités depuis la mort de son époux, la comtesse de Randolph est victime de surmenage. On la confie donc aux bons soins du docteur Blackmore, qui n'est pas insensible au charme de cette ravissante patiente à la langue acérée. Mais Bathsheba ne peut pas se payer le luxe d'une convalescence à la campagne. Elle doit se rendre à Londres pour trouver un bon parti capable de l'aider à rembourser les dettes colossales de son défunt mari. À quoi bon se laisser conter fleurette par ce beau médecin qui n'a sûrement pas de quoi lui assurer un train de vie décent ?
Cher moi-même (Galila Ron-Feder) - Castor Poche N° 424
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Cher moi-même (Galila Ron-Feder) - Castor Poche N° 424

2,74 €
Écrire pour soi-même ? Drôle d'idée ! C'est l'avis de Yoav, enfant de milieu défavorisé placé dans une famille d'accueil, les Sharoni, loin de son quartier de Haïfa et d ses tentations. Mais Mme Sharoni insiste et Yoav se prend vite au jeu. Récits cocasses et serments de vengeance, petits triomphes et gros chagrins, le journal recevra tout en vrac, jusqu'au jour où Yoav décide d'abandonner ce « Cher moi-même », il a une bien meilleure idée…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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