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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Nicholas Pyne
  • Auteurs: Vanessa Kelly
La famille Stanton T3 : À l'assaut de la comtesse - Vanessa Kelly - Milady Pemberley
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La famille Stanton T3 : À l'assaut de la comtesse (Vanessa Kelly)

3,95 €
Qu'adviendra-t-il de la patiente anglaise ? Écrasée par les responsabilités depuis la mort de son époux, la comtesse de Randolph est victime de surmenage. On la confie donc aux bons soins du docteur Blackmore, qui n'est pas insensible au charme de cette ravissante patiente à la langue acérée. Mais Bathsheba ne peut pas se payer le luxe d'une convalescence à la campagne. Elle doit se rendre à Londres pour trouver un bon parti capable de l'aider à rembourser les dettes colossales de son défunt mari. À quoi bon se laisser conter fleurette par ce beau médecin qui n'a sûrement pas de quoi lui assurer un train de vie décent ?

Terror Academy : Sous le choc (Nicholas Pyne)

2,15 €
Jody ramasse le journal. Le gros titre lui saute au visage : « Un jeune délinquant libéré à Millbrook. Robert Barris revient à Port City. » Jody blêmit. Instantanément, les images du drame lui reviennent en mémoire : la ruelle sombre, l'éclat du couteau couvert de sang, Timothy recroquevillé sur le sol, et, surtout, le regard halluciné de Bubba Barris. Bubba ! Celui que Jody a fait condamner deux ans plus tôt. Celui qui était responsable de l'état dans lequel se trouve Thimothy, son ex-petit ami. Celui qui a juré de se venger après le procès. Bubba la brute est de retour ! Le règne de la terreur a commencé.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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