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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Lise Mélinand
  • Auteurs: Pierre-Jules Stahl
Les patins d'argent (Pierre-Jules Stahl) - Livre Club Jeunesse N° 36 - Editions Hemma
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Les patins d'argent (Pierre-Jules Stahl)

2,55 €
Hans et Gretel Brinker, comme tous les enfants de Hollande, aiment patiner sur les étendues gelées. Si leurs camarades les toisent, c'est parce qu'ils sont pauvres : le père Brinker gît comme fou dans son lit suite à un accident. Mais voilà que s'organise la grande course. Où Hans et Gretel trouveront-ils de l'argent pour acheter de vrais patins ? Et si leur père pouvait guérir ? Seul le docteur Boekman pourrait le soigner ! P.J. Stahl (1814-1886), de son vrai nom Jules Hetzel, est surtout connu dans le monde des lettres du 19e siècle comme un grand éditeur, véritable détecteur de talents. Cet homme à la personnalité généreuse écrivit aussi sous son pseudonyme quelques romans pour la jeunesse comme Maroussia ou Les patins d'argent .

copy of Monsieur Toc-Toc (P.-J. Stahl, Lorentz Froelich, Matthis)

7,64 €
Edité vers 1860, Monsieur Toc-Toc nous narre avec humour, second degré et un luxe de détails les états d'âme d'un jeune garçon en pleine querelle avec son chat, et qui cherche l'appui de son père. Un petit souci familial qui trouvera sa résolution dans la dégustation d'un sucre d'orge. Le tout est illustré de vignettes issues de gravures, petits tableaux vivants, précis et charmants. De 4 à 7 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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