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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Louise Fuller

N° 3801 - Un ardent face-à-face (Louise Fuller)

2,98 €
Flora peine à y croire. Ce Massimo Sforza pense-t-il vraiment qu’elle se laissera acheter de la sorte ? Maintenant qu’elle a enfin trouvé son havre de paix, il est hors de question qu’elle abandonne le palazzo aux mains de ce milliardaire impertinent qui désire le transformer en complexe hôtelier de luxe ! Peu importe le prix qu’il lui propose, elle ne cédera pas. Car elle en est convaincue : aucune somme d’argent ne pourrait acheter la sérénité que cet endroit lui procure. Massimo, aussi charmant et intimidant soit-il, peut bien lui imposer de cohabiter avec lui, rien ne la fera fléchir…

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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