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  • Auteurs: Louise Gravise
  • Auteurs: Marcel Vigier
  • Auteurs: Penelope Field

N° 383 - On vous observe (Penelope Field)

3,92 €
Brenda, qui est vendeuse dans une librairie de Seattle (U.S.A.), voit sa vie brusquement bouleversée par deux lettres arrivant de San Francisco. Elle est appelée par une grand-tante qu'elle ne connaissait pas et son homme d'affaires. Elle arrive à la Casa del Sol, une immense maison vide, car la Tante Muriel est malade et il se produit autour de Brenda des phénomènes étranges et inquiétants. De plus, elle se sent surveillée étroitement par M. Bates, l'homme d'affaires, et par Mme Matting, l'infirmière-gouvernante. Il y a aussi un neveu, Paul, mauvais garçon au comportement redoutable… La Casa del Sol est-elle une maison hantée ? Brenda devra-t-elle aller jusqu'aux limites de la terreur avant de trouver un havre de paix et une protection efficace qui ressemblera beaucoup à l'amour ?

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
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