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  • Auteurs: Marcel Vigier
  • Auteurs: Maria de Crisenoy
  • Auteurs: Paulette Blonay
Le trésor du Noble Jean (Paulette Blonay) - Bibliothèque Rouge et Or N° 133

N° 133 - Le trésor du Noble Jean (Paulette Blonay)

4,94 €
Avec quelle joie le très vieux marquis de Latour-Laridon apprend-il à ses sept jeunes protégés (Léo, Mone, Félix, Kim, Grelette, Dondon et Aventine) qu'il est le seul héritier d'un fabuleux trésor, abandonné sous la Terreur par son ancêtre, le Noble Jean ! Mais ce trésor, il faut le retrouver. Sa recherche partant de Paris le premier jour des grandes vacances, entraînera en voiture la joyeuse petite bande, accompagnée du marquis, d'Achille, son étrange et sinistre valet, et de la brave Mme Folbiquet, tout autour de la France. Aventure pleine de joie, mais aussi de déceptions et de peines, car il faut chaque jour gagner sa nourriture et son logement. Le trésor est enfin retrouvé, mais dans quelle singulière cachette ! Les illustrations de Luce Lagarde ajoutent encore au pittoresque du récit. Pour Garçons et Filles à partir de 8 ans.
Un secret en danger (Ernest Fornel) - Collection Printemps Recueil N° 37 - Editions de Montsouris

Un secret en danger (Ernest Fornel) - Collection Printemps Recueil N° 37

12,00 €
Recueil de 6 romans complets - Un secret en danger (Ernest Fornel) : N° 217 paru en 1937, - L'aire des aiglons (Jean de Fervacques) : N° 218 paru en 1937, - Tôt ou tard (Michel Dorlys) : N° 219 paru en 1937, - La maison cernée (Claude Renaudy) : N° 220 paru en 1937, - Sports d'hiver (Thérèse Bernardis) : N° 221 paru en 1937, - Rose-des-vents (Maria de Crisenoy) : N° 222 paru en 1937.
Soupirs d'amour (Marcel Vigier) - Le Petit Livre Ferenczi N° 519

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…
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