Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Marcel Vigier
  • Auteurs: Maurice Carême
LA KERMESSE (Pierre Brueghel) racontée aux enfants par Maurice Carême - Editions Duculot
  • Nouveau

LA KERMESSE (Pierre Brueghel) racontée aux enfants par Maurice Carême

4,75 €
Le tableau connu sous le nom de « La Kermesse » a été peint par Pierre Brueghel le Jeune, dont le père, aussi prénommé Pierre, était peintre également comme le sera plus tard son propre fils, désigné sous le nom de Pierre Brueghel le Troisième. Pierre Brueghel le Jeune naquit à Bruxelles en 1564. A l'âge de quatorze ans, il perdit ses parents. Pierre, son frère cadet Jean (qui deviendra peintre lui aussi) et sa soeur Marie seront élevés chez leur grand-mère à Anvers. Peintre elle-même, elle donna conseils, leçons et encouragements au jeune garçon jusqu'au jour où il fut admis à la Guilde comme « Fils de Maître » (1585). A cette époque un jeune homme désireux de faire une carrière d'artiste devait, avant de devenir membre d'une Guilde, se soumettre à une longue période de formation et d'apprentissage. Les Guildes étaient puissantes ; elles regroupaient ceux qui souhaitaient protéger la réputation des artistes et des artisans et maintenir l'exigence de qualité dans le travail au plus haut niveau possible. Pierre passait le plus clair de son temps à copier les oeuvres de son père d'après des gravures et des dessins qu'il avait laissés après sa mort. Mais « La Kermesse » est une de ses peintures originales. Il en fit plusieurs versions.

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire