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  • Auteurs: Marcel Vigier
  • Auteurs: Maurice Carême
  • Auteurs: Philippine Terris
LA KERMESSE (Pierre Brueghel) racontée aux enfants par Maurice Carême - Editions Duculot
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LA KERMESSE (Pierre Brueghel) racontée aux enfants par Maurice Carême

4,75 €
Le tableau connu sous le nom de « La Kermesse » a été peint par Pierre Brueghel le Jeune, dont le père, aussi prénommé Pierre, était peintre également comme le sera plus tard son propre fils, désigné sous le nom de Pierre Brueghel le Troisième. Pierre Brueghel le Jeune naquit à Bruxelles en 1564. A l'âge de quatorze ans, il perdit ses parents. Pierre, son frère cadet Jean (qui deviendra peintre lui aussi) et sa soeur Marie seront élevés chez leur grand-mère à Anvers. Peintre elle-même, elle donna conseils, leçons et encouragements au jeune garçon jusqu'au jour où il fut admis à la Guilde comme « Fils de Maître » (1585). A cette époque un jeune homme désireux de faire une carrière d'artiste devait, avant de devenir membre d'une Guilde, se soumettre à une longue période de formation et d'apprentissage. Les Guildes étaient puissantes ; elles regroupaient ceux qui souhaitaient protéger la réputation des artistes et des artisans et maintenir l'exigence de qualité dans le travail au plus haut niveau possible. Pierre passait le plus clair de son temps à copier les oeuvres de son père d'après des gravures et des dessins qu'il avait laissés après sa mort. Mais « La Kermesse » est une de ses peintures originales. Il en fit plusieurs versions.

N° 3417 - Mensonge et passion (Philippine Terris)

3,75 €
Mensonge et passion Un roman inédit de Philippine Terris Extrait : J'eus un soupir exaspéré et, pendant une seconde, je crus que j'allais me jeter sur la toile, pour la lacérer. Je me contentai d'essuyer mon pinceau soigneusement. Par les vitres de l'atelier, une blafarde lumière d'hiver tombait sur le tableau que j'étais en train de peindre. Le costume de l'homme en rouge paraissait plus éclatant et plus pâle, son visage anguleux : — Mais les yeux… Je n'arrive pas à peindre les yeux… Et j'arrachai ma blouse, à grands gestes impatients. J'avais mal à la tête, une subite envie de pleurer. Il est terrible d'essayer de traduire en formes, en couleurs, ce qui est le reflet mouvant de votre imagination.. — Quelquefois, c'est même impossible, murmurai-je. Je détournai le regard de l'homme en rouge. Je finirais par le détester, ce visage sans regard, dont la bouche souriait, dédaigneuse…

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…
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