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  • Auteurs: Hortense Ultrich
  • Auteurs: Marcel Vigier
  • Auteurs: Michel Nour

Miss Catastrophe T2 : Courrier du coeur (Hortense Ullrich) - Milan Poche Junior N° 113

2,90 €
Comment c'est arrivé ? Comment je fais pour me retrouver toujours dans des situations pareilles ? Et pourquoi est-ce tombé sur Nils ? Je vais supplier ma mère de déménager. C'est la seule solution pour me tirer de ce mauvais pas. Jojo veut participer au journal du collège. Il ne reste que le courrier des lecteurs ? Qu'à cela ne tienne. Tous les moyens sont bons pour attirer l'oeil du beau Nils. Mais entre les gaffes de Jojo, son allergie à la glace à la framboise, les paris de ses copines et les bêtises de sa soeur, la vie de Miss Catastrophe se complique, comme toujours… Dès 9-10 ans.

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…
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