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  • Auteurs: Marcel Vigier
  • Auteurs: Paloma de la Isla
  • Auteurs: Paul Bouchet

N° 423 - Hû, le premier Gaulois (Paul Bouchet)

4,74 €
Hû est ce chef gaulois qui ramena des bords de la Caspienne, voici près de 3.000 ans, les tribus qui s'y étaient autrefois installées, venant de notre France actuelle. Cet homme prestigieux, dont le souvenir n'est pas effacé, est encore l'inventeur de la charrue à roues et à soc de fer. C'est le roman de la jeunesse de Hû que l'auteur évoque ici pour les jeunes « Gaulois » d'aujourd'hui.

N° 3446 - Fleur tardive (Paloma de la Isla) - A chacun son rêve (Martine Médaglia Prévôt)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3446 à détacher Fleur tardive : un roman inédit de Paloma de la Isla Mathilde à trente-cinq ans n'attend plus rien de la vie. Médecin à l'hôpital de sa ville natale, dans le Midi, elle habite avec sa mère, la tyrannique Aurore Sévernet, dans une grande maison isolée. Elle a peu d'amis, elle n'a pas d'amoureux. Peut-être n'en a-t-elle jamais eu ? A part celui de ses vingt ans avec lequel sa famille l'a fait rompre : « Ce n'est pas un garçon pour toi… » C'est alors que Fabien est hospitalisé dans son service. Il n'a pas plus de vingt-cinq ans. C'est un garçon de la campagne, très beau et timide. Inculte et doux. Mathilde s'attache à lui, en secret… Et lui, tellement seul, paraît heureux de cette amitié… Mathilde et Fabien arriveront-ils à se comprendre tout à fait ? Fabien sera-t-il pour Mathilde le fils qu'elle n'a pas eu ? Ou sans égards pour les conventions deviendra-t-il beaucoup plus ? Mathilde se souviendra-t-elle à temps que la nature, parfois, fait fleurir des fleurs tardives ? Les plus belles. A chacun son rêve : un roman policier inédit de Martine Médaglia Prévôt.

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…
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