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  • Auteurs: Marcel Vigier
  • Auteurs: Paul Claude
  • Auteurs: Rosie Rushton
Rien ne va plus ! T2 : Victoria (Rosie Rushton) - Pocket Junior
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Rien ne va plus ! T2 : Victoria (Rosie Rushton)

2,95 €
Victoria (Rosie Rushton) Rien ne va plus ! Tome 2 Victoria est comblée ! Sa famille ? Modèle ! Son visage ? Ravissant ! Son énergie ? Inépuisable ! Son agenda ? Rempli ! Organiser une fête, révolutionner la vie au collège, réconforter son amie Livie qui déprime : rien ne l'arrête. Vickie maîtrise TOUT ! Vraiment ? Et quand son père craque ? Présente ! hurle Vickie. Elle va le sortir du pétrin, promis, juré ! et AU PAS DE COURSE ! À partir de 11 ans

Rien ne va plus ! T5 : Charlotte (Rosie Rushton)

1,98 €
Charlotte (Rosie Rushton) Rien ne va plus ! Tome 5 Charlotte est ravie : elle part à Vienne avec sa chorale. Adieu la campagne qu'elle déteste, adieu les éternelles disputes de ses parents ! Vive le festival de chant ! Et bonjour Marc, qu'elle rencontre là-bas. Marc qui ne la quitte plus d'une semelle. À lui, elle pourra se confier. Révéler enfin le secret qui la tourmente tant… À partir de 11 ans.

Rien ne va plus ! T1 : Sophie (Rosie Rushton)

2,56 €
Sophie (Rosie Rushton) Rien ne va plus ! Tome 1 Sophie a tout pour elle : elle est belle, drôle, intelligente. Pourtant sa vie amoureuse est un désastre : elle aime séduire, mais après… ça se gâte. Généreuse, elle voudrait sauver la terre entière, s'attaquer à la misère, la faim dans le monde, donner un sens à sa vie. Pourra-t-elle tout porter sur ses frêles épaules sans craquer ? Heureusement, il y a Tony, super-timide, pas très beau, pas très cool, mais tellement drôle !!! À partir de 11 ans

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…

N° 1180 - Cette femme et lui (Paul Claude)

3,74 €
Extrait : Une fois de plus, Paulette Dorsannes et sa fillette, Baby-Rose, achèvent seules leur souper ; la mère consulte le carillon et l'enfant qui comprend traduit : — Il est méchant, papa. La jeune femme secoue la tête, elle n'en peut plus, non ! depuis un an que cela dure… Cela avait commencé un soir d'octobre à la même date qu'aujourd'hui qui se trouvait être la neuvième année de son mariage avec Georges. Ce jour-là, Baby avait pris ses huit ans, sa mère l'avait comblée de cadeaux, mais elle avait été seule à l'embrasser, son père avait oublié la double fête des anniversaires. Et ce soir… neuf ans. Neuf ans écoulés, non sans nuages, mais avec de longues éclaircies qui autrefois faisaient oublier les jours gris de l'hiver. Baby-Rose serrait sur son coeur sa nouvelle poupée, cadeau de petite mère, mais elle lui racontait des choses tristes comme celle-ci : — Tu n'auras jamais de peine, toi ! Tu n'auras pas un méchant papa…

N° 1250 - Le retour du bonheur (Paul Claude)

3,74 €
Extrait : Cette fin d'après-midi de dimanche, dans la campagne beauceronne, était infiniment paisible. Aux ardeurs du soleil d'août succédait une heure délicieuse, de celles qui semblent suspendre la marche rapide du temps pour accorder une halte de silence et d'oubli à tout le créé. Assis à califourchon, Martin Dupuis, contemplait la nature. Le regard plongé par-delà la grande cour de ferme où picore la volaille, où les canards s'ébrouent au bord de la mare, il considère l'étendue des champs de betteraves dont les larges feuilles dessinent sur le sol leurs arabesques et, plus loin, à perte de vue, la vaste plaine blonde, immobile sous le ciel. Un ciel d'azur sans nuages, calme et serein comme la terre. Le fermier subit ces instants de magique beauté sans les comprendre peut-être de la même façon que celui dont le front a ignoré les sueurs du travail acharné, parfois ingrat, que réclame le sol ; mais il jouit dans son âme silencieuse, attachée à la chaîne qu'il a toujours connue, toujours aimée, qui est depuis longtemps devenue sa liberté…
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