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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Maria Blazejovsky

Dans mes petits souliers (Susanne Vettiger, Maria Blazejovsky)

5,90 €
Clic clac, clic clac… Du matin au soir, nos souliers nous portent de par le monde. Mais… que se passe-t-il dès que nos pieds les ont quittés ? A ce qu'on raconte, de petits êtres fantastiques pointent alors le bout du nez et commencent à vivre d'étranges aventures. Vous ne le croyez pas ? Alors écoutez bien cette histoire. Elle nous raconte la vie de Mam'zelle Babette et de Monsieur Leureux, deux souliers pas comme les autres puisqu'ils habitent à l'Opéra. Sur scène, ils font la paire ! Mais un beau jour, consternation ! Monsieur Leureux a disparu. Et l'une après l'autre, les chaussures voisines se volatilisent à leur tour, tantôt la gauche, tantôt la droite. Que se passe-t-il donc ? C'est un bien grand mystère, mais Mam'zelle Babette est prête à tout pour retrouver son compère…

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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