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  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Roberte Roleine

L'amazone captive (Roberte Roleine)

4,94 €
Extrait : La fraîcheur régnait à l'abri des murs épais d'un mètre. De leurs vitres verdâtres en fond de bouteille, les quatre fenêtres opposées deux à deux interceptaient le soleil cru de juillet. Entre les baies et dans les recoins, la grande salle était à demi obscure. Un jour glauque jouait sur les sculptures et les saillies de ses buffets et crédences de bois sombre et encrassé. Réduite à l'éclat doré de son lent balancier, une horloge qui égrenait les secondes dans le silence accompagnait, comme des accords d'épinette une chanson, le vrombissement continu des mouches. Jupe retroussée d'un côté sur le cotillon, corbeille sous le bras, une servante entra par une des portes basses qui flanquaient la cheminée monumentale. Elle s'arrêta au seuil et mit sur la hanche son poing libre : — C'est-il une tenue pour des chrétiennes ? Son regard allait de l'une à l'autre des molles statues blanchâtres, étendues sur les banquettes à dossier, couvertes de coussins, qui se faisaient face, entre les fenêtres. — il fait chaud, Toinette, gémit l'une. — Si vous deviez travailler aux champs, comme les paysannes, adopteriez-vous la tenue de notre mère Eve ?…

N° 3195 - La rivale sans visage d'après le roman de Roberte Roleine

3,75 €
Au milieu de l'animation de l'aéroport de Londres, un inconnu s'approche brusquement d'annalise, la ravissante ballerine de l'Opéra de Vienne, et l'embrasse… Indignée, elle le repousse. L'ambition d'Annelise, c'est de devenir danseuse étoile. Au prix d'efforts durs et constants, elle est sur le point de réaliser son rêve. Mais voilà qu'à Vienne elle retrouve son inconnu : il s'appelle Franz, c'est un riche couturier, il l'aime. Depuis le baiser de Londres, elle-même ne l'a plus oublié. Tout serait donc pour le mieux s'il ne posait à leur union une condition inattendue et cruelle : Annelise devra choisir entre lui et la danse ! Tandis que la jeune fille se débat dans ce douloureux dilemme, Katharine, l'amie jalouse, intrigue dans l'ombre, et Titus Zaresky, le prodigieux partenaire d'annalise, souffre et espère… Dans son roman LA RIVALE SANS VISAGE, Roberte Roleine évoquera pour vous quelques tableaux prestigieux de la capitale autrichienne, vous peindra les dessous du monde de la danse ; avec Annelise, déchirée entre l'amour et la gloire, vous vous demanderez si un homme, si cher qu'il soit, mérite un tel sacrifice.

N° 397 - Menuet pour trois amours (Roberte Roleine)

3,50 €
A Aix-en-Provence, au XVIIIe siècle, Blaise de Rouvières aime une jeune fille de condition modeste, Sophie Désanat, une jolie mercière qu'il veut épouser. Mais les hommes de son rang contractent des alliances utiles ou brillantes. La politique exige qu'il se marie avec Hermine de Gueyrane. Dès que Blaise refuse, commence une lutte implacable : son père est décidé à lui imposer cette union par tous les moyens. Le frère de Sophie, cependant, Olivier, vient en aide à Blaise avec d'autant plus d'ardeur qu'il s'est épris d'Hermine. D'Hermine amoureuse de Blaise, et qui va essayer de le garder. Un terrible secret, soudain dévoilé, change la face des choses. Se pourrait-il, alors, que deux couples heureux se forment ? L'amour mène souvent la danse. N'y a-t-il que dans les figures du menuet qu'on change de cavalière ?

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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