Journaux - Brochures

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Gérard Harry
  • Auteurs: Jeanne Roger-Lévy
  • Auteurs: L. Veil

N° 230 - Les petits émigrés belges en France (Gérard Harry)

7,50 €
10 Gravures Extrait : CRUELLE SEPARATION - « Les enfants dorment ? — Oui, tous les deux. Et ils dorment comme s'ils avaient bien dîné, les chers petiots. Ce n'est pourtant pas le cas ! — Ils mangeront mieux dans quelques jours, va. — Alors tu es toujours décidé à cette cruelle séparation ? — Plus que jamais ! » Ce dialogue échangé, les époux Gilbert demeurent silencieux. Ils sont assis près de la table sur laquelle ils ont pris leur triste repas, car l'on y voit encore la moitié d'un pain, couleur chocolat, et qui semble moisi. Une petite lampe éclaire les visages amaigri et soucieux de ces braves gens qui viennent d'endurer trois années des privations les plus dures et des plus odieux traitements au milieu des baïonnettes allemandes.

N° 137 - Histoire de Gracieuse et Les Aventures d'un Lutin (Jeanne Roger-Lévy)

3,90 €
19 gravures Extrait : Il était une fois, au pays des Ardennes, dans l'est de notre France, un vieux seigneur nommé le comte Bruno. Il avait perdu son excellente femme, et vous pouvez imaginer combien il adorait son fils unique, le jeune Hubert. Il ne pouvait se séparer longtemps de lui ; du reste, Hubert était un très bon fils, aimant beaucoup son père et faisant son bonheur. Toutefois, le vieillard avait toujours quelque inquiétude en pensant aux paroles prononcées par une vieille fée à la naissance de l'enfant, car ces paroles disaient : « Pour ton fils, le bonheur sortira d'un grand malheur. » Et, à force de craindre ce malheur vague, le comte restait anxieux et se demandait comment il pourrait protéger Hubert…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire