Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Alain Gerber
  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs

Le faubourg des Coups-de-Trique (Alain Gerber)

3,74 €
Le faubourg des Coups-de-Trique : c'est ainsi que ses habitants avaient baptisé le quartier ouvrier de Belfort avant 1940, date où s'achève cette histoire, alors que les troupes allemandes font leur entrée dans la ville. En 1940, Théo a douze ans et il vient de passer, tant bien que mal, son certificat d'études. Demain, il ira gagner sa vie. Autour de lui, il y a ses grands-parents, chassés d'Alsace après la guerre de 1870. Il y a ses parents, sa soeur aînée, l'oncle Maximilien, séduit par l'idéologie fasciste, Kramsky, le coupeur de bois qui sait « parler hanneton », et puis surtout Gentil, ancien marsouin, manutentionnaire à l'Alstom, clarinettiste du samedi soir qui, ayant un jour entendu Artie Shaw à la radio, fait du jazz sans le savoir. À leurs côtés, tout un petit monde tente de survivre, entre les usines et l'épicerie-bistrot, à une existence de labeur, d'effroi et de désillusion que viendra seul illuminer le grand soleil de 1936…

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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