Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Claude Klotz
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Marie Desplechin
Drôle de samedi soir (Claude Klotz) - Le livre de poche N° 216
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Drôle de samedi soir (Claude Klotz) - Le livre de poche N° 216

2,56 €
Drôle de Samedi soir suivi de Rue de la Chance et de Le mois de mai de Monsieur Dobichon Un quiproquo, une fortune inattendue, un étrange défi… un petit rien peut parfois bouleverser une soirée… ou une vie ! Comment Harp, 10 ans, amateur de télé et de poulet mayonnaise pourrait-il neutraliser quatre cambrioleurs seul et sans se fatiguer ? Qu'y a-t-il de commun entre un gangster en fin de carrière et une vieille dame mal aimée ? Comment un ascenseur à la vitre cassée transformerait-il un comptable en vedette internationale ?

Le journal d'Aurore T2 : Toujours fâchée (Marie Desplechin)

2,95 €
« — Je n'ai jamais rien entendu de plus laid, de plus ennuyeux et de plus nuisible que ce que tu joues avec ton groupe. Il vient de tomber par terre. Il se roule dans le sable en se tenant le ventre. C'est le soldat Ryan. Peut-être qu'il va mourir sur la plage. Je vais lui flanquer un coup de pied pour abréger ses souffrances. Je suis malheureusement interrompue par l'arrivée de Samira et d'Hélène qui s'approchent de nous avec des airs légèrement envieux. — De quoi vous parlez ? demande Samira. Vous avez l'air de bien vous marrer. Il se relève, il essuie ses yeux et il montre du doigt. — C'est elle, gémit-il. Elle n'arrête pas de m'agresser, elle est trop marrante. Bon. Je me suis fait un nouvel ami masochiste. Il me regarde avec des yeux émerveillés. Il m'adore, c'est clair.»

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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