Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Alessandro Cassa
  • Auteurs: Doris Andersen
  • Auteurs: L. Veil

Esclave des Haïdas (Doris Andersen) - Castor Poche N° 72

2,74 €
Kim-Ta, fils d'un chef de la tribu indienne des Salish, rêve de tuer le plus respecté et le plus puissant des animaux : l'ours noir. Aidé de son esclave personnel, il s'attaque à l'animal et le tue. Mais il a enfreint les règles et n'a pas respecté le rituel. Comme par châtiment de l'esprit en colère, les Haïdas attaquent le village de Salish et emmènent Kim-Ta et sa petite soeur loin de leur terre natale. Au cours de sa captivité chez les Haïdas, Kim-Ta découvre la dure réalité de l'esclavage mais il s'initie aussi aux riches coutunes de ce peuple de marins Mais peut-on oublier que l'on est né libre et fils de chef ?

Dumdell T1 : Le professeur Acarus Dumdell et ses potions incongrues (Alessandro Cassa)

7,50 €
Bien des choses se colportaient au sujet des jumeaux Dumdell, l'un, apothicaire de bonbons, l'autre, malheureux inventeur de potions. Les commères des villages voisins disaient que c'étaient aussi que le professeur fabriquait lui-même les bonbons de son frère. Et qu'il y mettait d'étranges ingrédients. Tout cela pouvait cependant s'expliquer. Mais - le pire de tout - elles affirmaient que ce sympathique professeur osait tester les effets de ses potions sur les villageois de Meadowfield en les attirant dans la boutique de son frère. Même si certains effets bizarres se produisaient sur les habitants comme les commères le prétendaient, tout cela n'était peut-être qu'affabulation. Peut-être, car les petites filles se métamorphosaient en papillons et les arbres en gruyere… De 10 à 13 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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