Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Doris Andersen
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Monique Ponty

N° 2.748 - Ursula (Monique Ponty)

7,95 €
Octobre 1944. Les enfants des départements les plus exposés sont évacués en Suisse. Monique, 12 ans, est accueillie dans une famille inconnue. Nouvelles habitudes, nouveau langage, le dépaysement est complet… Mais il y a Ursula, la petite fille de la maison ! Bien vite les enfants sympathisent et c'est une vie pleine de péripéties, d'imprévus, de découvertes qui commence pour Monique. Laissons-lui la parole…

Esclave des Haïdas (Doris Andersen) - Castor Poche N° 72

2,74 €
Kim-Ta, fils d'un chef de la tribu indienne des Salish, rêve de tuer le plus respecté et le plus puissant des animaux : l'ours noir. Aidé de son esclave personnel, il s'attaque à l'animal et le tue. Mais il a enfreint les règles et n'a pas respecté le rituel. Comme par châtiment de l'esprit en colère, les Haïdas attaquent le village de Salish et emmènent Kim-Ta et sa petite soeur loin de leur terre natale. Au cours de sa captivité chez les Haïdas, Kim-Ta découvre la dure réalité de l'esclavage mais il s'initie aussi aux riches coutunes de ce peuple de marins Mais peut-on oublier que l'on est né libre et fils de chef ?

L'inconnu de la Proiselière (Monique Ponty)

2,56 €
Que faire quand on est l'unique témoin d'un crime incroyable ? Comment réagir alors que l'assassin vous a vu et menacé ?  Une seule solution s'impose au garçon : partir… Partir en catastrophe, s'éloigner du lieu maudit, fuir la vision de cauchemar.  Mais comment survivre seul, à 13 ans, au coeur de l'hiver, sans abri et sans but ? 

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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