Chariot
0 articles
Votre panier est actuellement vide
Login
Connexion au compte existant Connectez-vous à votre compte
réinitialiser le mot de passe
Nouveau compte S'inscrire
Accueil
-
- Harlequin
- J'ai lu
- Duo
- Presses de la Cité
- Ferenczi & Fils
- Librairie Jules Tallandier
- Romances - Divers éditeurs
- Magazines - Suppléments
- Littérature Jeunesse
- Activités - Coloriages - Jeux
- Lire en anglais
- Livres pour les tout-petits (0-3 ans)
- Premières lectures
- Contes, légendes et mythologies
- Histoire et Classiques
- Petites et grandes fictions
- Bandes dessinées
- Bibliothèque Verte
- Bibliothèque Rose
- Bibliothèque Rouge et Or
- Collection Spirale
- Idéal~Bibliothèque
- Journaux - Brochures
- Les bandes dessinées
- Autres rayons littérature
- Harlequin
Filtrer par
Auteurs
Auteurs
Collections
Collections
Editeurs
Editeurs
Prix
Prix
-
2,00 € - 6,00 €
Littérature Jeunesse
Affichage 1-3 de 3 article(s)
Mes évasions (Général Giraud)
5,95 €
La carrière du général Giraud, soldat sans peur et sans reproche, a été marquée par trois mémorables évasions. En 1914, après la bataille de la Marne, évasion du capitaine Giraud de l'hôpital allemand d'Origny-Sainte-Benoîte et retour en France par Bruxelles, La Haye et Folkestone. De mai 1940 à avril 1942, préparation minutieuse et réussite méritoire du chef-d'oeuvre d'ingéniosité et de sang-froid que fut l'évasion du général d'armée Giraud de la forteresse nid d'aigle de Kônigstein. Enfin, en novembre 1942, embarquement en sous-marin, au large des côtes de France, vers Gibraltar et l'Algérie. Un livre exaltant pour les Français de tout âge.
N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)
4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…