Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Cécile d'Argel
  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
Pour sauver le prince... (Cécile d'Argel) - Bibliothèque Rouge et Or Souveraine N° 670
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N° 670 - Pour sauver le prince... (Cécile d'Argel)

9,50 €
Ce jour du mois de juin 1745, Alistair, fils du laird écossais Gavin Mc Allan de Clanranard, est de fort mauvaise humeur : il doit aller accueillir, à son arrivée en France, Armande de Boisrond, sa cousine, âgée comme lui de douze ans. Etant fille, Armande ne peut être qu'une pécore, songe Alistair. Toutefois, son déplaisir est compensé par la joie de revoir son père et son oncle, qui accompagnent la fillette. Nul doute qu'ils ne rapportent de France des nouvelles du jeune Charles-Edouard Stuart, le fils du Prétendant d'Ecosse, qu'Alistair aime de tout son coeur et pour lequel il voudrait bien donner sa vie. Une aventure passionnante attend Armande et son cousin, qui, bien entendu, ne tarderont pas à devenir deux inséparables. De 12 à 16 ans.

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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