Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Françoise Laurent
  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs

Perds pas la tête, mamie ! (Françoise Laurent)

3,25 €
Joséphine, la mamie d'Antoine, fait des choses étranges : elle perd régulièrement des objets, verse des verres de lessive à la place du sirop, arrose les bibelots de la cheminée… — Elle doit aller à l'hôpital, disent les parents d'Antoine. Mais lui n'est pas de cet avis. À qui récitera-t-il ses leçons ? Qui l'aidera pour ses devoirs ? Joséphine est si patiente, si compréhensive ! Antoine décide donc de s'enfuir avec sa grand-mère. Il connaît une maison inhabitée dans un village perdu de Haute-Saône. Mais une grand-mère qui retombe en enfance, ce n'est pas de tout repos. Surtout lorsqu'elle est accompagnée d'un chat noir et d'un rat blanc. Et qui est cette Antoinette dont elle parle sans cesse ? Dès 9 ans.

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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