Littérature Jeunesse

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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Jutta Bauer
  • Auteurs: Martine Delerm

Clémence et le grand parapluie (Martine Delerm)

8,00 €
Clémence aime être seule. Sous son parapluie rouge, elle est bien au chaud et se complaît dans sa rêverie mais voilà que peu à peu, le parapluie grandit… Il était compagnon, il était protecteur, il devient encombrant et finit par interdire toute communication avec autrui. Et Clémence rêve parfois qu'il s'envole, pour s'échapper.  La timidité qui donnait du prix aux sentiments et aux sensations éprouvées, enferme Clémence dans ses peurs et sa solitude. Elle rapetisse, le parapluie envahit peu à peu les illustrations, Clémence disparaît sous le rouge… Saura-t-elle réagir à temps ? Trouvera-t-elle quelqu'un pour l'aider ? Martine Delerm aborde de façon ludique et poétique le douloureux problème de la timidité, du manque de confiance en soi et d'un dilemme cher à l'enfance : la peur et l'envie de grandir.

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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