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  • Auteurs: Anne Wakefield Madden
  • Auteurs: Janet Kebbell
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 92 - A la Folie Morgan (Janet Kebbell)

3,95 €
La Folie Morgan est une grande demeure, enfouie au coeur du comté de Kent ; construite au siècle dernier sur le modèle des châteaux Tudor, elle est habitée par Daniel Morgan et une fillette de neuf ans, Mary, sa fille… apparemment. Daniel a engagé Annelise Mitchell pour s'occuper de l'enfant, intelligente et trop avancée pour son âge. Mary a une véritable passion pour son oncle Timothy, frère de Daniel. Le jeune homme est léger, dépensier, brillant ; il s'amuse à laisser croire qu'il fait la cour à Annelise, pour mécontenter Daniel, semble-t-il, et révèle à la jeune gouvernante que son frère aîné à l'habitude de ne s'attacher à aucune femme. Qu'attend-on exactement d'annalise… et quel jeu joue Timothy ? N'est-il pas beaucoup plus dangereux qu'on ne serait tenté de le croire au premier abord ?

N° 361 - Au péril de ma vie (Anne Wakefield Madden)

2,56 €
L'Angleterre divisée du XVIIe siècle. Les partisans de Cromwell viennent de battre le roi Charles II à Worcester et poursuivent des royalistes dans la campagne anglaise. Une jeune fille de dix-sept ans, Kerenza, qui appartient à une famille très royaliste, rencontre dans la forêt un séduisant fugitif. Rivalité entre Kerenza et sa meilleure amie, Lucy… Duel à fleurets mouchetés entre Humphrey qui voudrait épouser Kerenza et Stephen Thorne dont la bravoure et le mystère dont beaucoup rêver Kerenza.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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