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  • Auteurs: Denise Noël
  • Auteurs: M.-A. Hullet
  • Auteurs: Marcel Vigier

Un été sans soleil (Denise Noël)

4,47 €
Certains êtres semblent avoir reçu en partage tous les biens que le reste de l’humanité s’efforce souvent en vain d’acquérir. Rosa Morton appartient à cette élite privilégiée. Fille naturelle d’un émir fabuleusement riche, elle poursuit ses études en Suisse, possède plus d’argent qu’elle n’en peut dépenser, est fiancée à un prince comme en rêvent les jeunes filles romanesques. De quoi susciter bien des convoitises ! Et pourtant Rosa est infiniment malheureuse. Elle aime et est aimée d’un talentueux mais obscure photographe et sait que jamais son père ne consentira à cette union. En outre, parce que la fortune de l’émir fait d’elle une proie pour les ravisseurs, elle est étroitement surveillée par ceux qui ont reçu la charge de son éducation. L’amour aiguisant l’imagination et la ruse des femmes, Rosa, aidée de sa meilleure amie, Isabelle Martinez, réussira à tromper la vigilance de ses chaperons. Cette liberté qu’elle a si follement désirée n’est-elle qu’un leurre, un été sans soleil ? Source : Editions Tallandier

N° 976 - Sous la caresse du soleil (M.-A. Hullet)

2,92 €
Extrait : Le soleil, en maître impérieux, fait peser son accablante domination sur la terre de Touggourt. Il l'étreint, la meurtrit, la possède, et elle devient sa proie défaillante. Il brille sur les lourds panaches des dattiers, il joue avec le vent au-dessus des dunes rousses, il est le tout-puissant que les burnous prosternés saluent quand, le soir, à l'horizon, il disparaît, rouge, assombri et farouche. La chaleur continue à être si intense en ce mois d'octobre que, tout à l'heure, le casque sera encore nécessaire pour garantir le crâne de la mortelle insolation. L'air surchauffé oppresse les poumons, dessèche la gorge. On dirait que le brûlant été ne veut pas mourir. Une table est dressée dans l'ombre tiède que projette la demeure du maître européen. Le déjeuner est cependant terminé depuis quelque temps, mais il faut que les heures torrides passent : vers trois heures on reprendra le travail. On y songe dans la fumée des cigarettes à goût de miel et la senteur âcre du café turc…

N° 3279 - L'amour choc d'après le roman de Denise Noël

3,75 €
Extrait : Vaste comme une nef, lambrissé de bois précieux et orné d'une profusion de fleurs, le hall du palace offrait aux arrivants un aperçu du luxe qui les attendait. Aux heures de pointe, six employées en uniforme bleu pastel officiaient à la réception. Parmi elles Martine Lebreton. Elle avait vingt-cinq ans, une chevelure blonde aux mèches courtes, un fin visage triangulaire…

N° 3186 - Cher David (Denise Noël) - Comme un coupable (André-Paul Duchâteau)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3186 à détacher Cher David d'après le roman de Denise Noël « Il faut partir, mademoiselle ! Un cyclone se dirige vers notre région. Il a déjà ravagé une partie des Petites Antilles ! » Partir ?… Pour Sandra, pas question ! Au contraire, reporter photographique en vacances aux Etats-Unis, elle cherche à prendre le cliché de sa carrière. Sereine, équilibrée, Sandra est très attachée à son fiancé Abel, resté en France. Leurs goûts se complètent. Ils construiront un calme bonheur. Mais avec le cyclone surgit David, bel étranger assez fou pour risquer sa vie au plus fort de la tourmente afin de retrouver son chien… Il sauve Sandra comme il sauve le chien. C'est l'homme des tempêtes. Il les aime, les provoque, les affronte. Même celles du coeur, sans que le sien, toutefois, ne s'émeuve. Tel quel, il est fascinant. Sandra est troublée. Ses théories sur le bonheur s'effondrent… Comment lutter contre cet envoûtement qui va la détruire ? A moins que… Comme un coupable d'après le roman policier de André-Paul Duchâteau.

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…
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